Le fabuleux destin......
Originaire de Carqueiranne rattachée à Hyères, à la belle époque, Alexandre passionné de cuisine, fut envoyé très tôt vers les grandes villes du pays comme Paris et Lyon, où il apprit les rudiments de la grande cuisine. Il lui fallut bien cela, pour acquérir en quelques années le titre de grand chef qu'il partit exercer sous les cieux britanniques.
A Londres il se tailla une sacrée réputation auprès du mess des régiments de cavalerie. Au point qu'il fut amené à diriger le Premier hussard de la Garde royale à Windsor.
Là, il rencontre Émilie, une aristocrate anglaise dont la famille était dans l'hôtellerie.
Il aura fallu l'audace et l'ingéniosité d'un homme pour créer un concept qui allait connaître un succès croissant : les palaces. Un "resort" de trois grands hôtels, les Hôtels de Costebelle.
Alexandre Peyron n'a rien laissé au hasard.
Il agrémente ses établissements des plus prestigieux équipements : sanitaires de luxe, salles de bal, grands restaurants, vaisselle en porcelaine et argent, personnels compétents et à l'écoute. Sans oublier les précieux jardins exotiques, un golf de 18 trous, cinq courts de tennis, terrains de croquet et de badminton. Le propriétaire n'avait pas oublié les enfants, avec des attractions spécifiques. Alexandre Peyron fut aussi l'un des premiers à construire une piscine et à promouvoir les bains de mer.
Cette époque de rêve vit son apogée avec le
SEJOUR DE LA REINE VICTORIA en 1892.
Martine Peyron, arrière-petite fille d'Alexandre,
en témoigne dans un récent ouvrage(1), passionnant.
extrait de l'article de Gisèle Koson-Dray,
Var-Matin du 17 novembre 2013
1) renseignement : http://livrereinevictoria.free.fr/
Originaire de Carqueiranne rattachée à Hyères, à la belle époque, Alexandre passionné de cuisine, fut envoyé très tôt vers les grandes villes du pays comme Paris et Lyon, où il apprit les rudiments de la grande cuisine. Il lui fallut bien cela, pour acquérir en quelques années le titre de grand chef qu'il partit exercer sous les cieux britanniques.
A Londres il se tailla une sacrée réputation auprès du mess des régiments de cavalerie. Au point qu'il fut amené à diriger le Premier hussard de la Garde royale à Windsor.
Là, il rencontre Émilie, une aristocrate anglaise dont la famille était dans l'hôtellerie.
Il aura fallu l'audace et l'ingéniosité d'un homme pour créer un concept qui allait connaître un succès croissant : les palaces. Un "resort" de trois grands hôtels, les Hôtels de Costebelle.
Alexandre Peyron n'a rien laissé au hasard.
Il agrémente ses établissements des plus prestigieux équipements : sanitaires de luxe, salles de bal, grands restaurants, vaisselle en porcelaine et argent, personnels compétents et à l'écoute. Sans oublier les précieux jardins exotiques, un golf de 18 trous, cinq courts de tennis, terrains de croquet et de badminton. Le propriétaire n'avait pas oublié les enfants, avec des attractions spécifiques. Alexandre Peyron fut aussi l'un des premiers à construire une piscine et à promouvoir les bains de mer.
Cette époque de rêve vit son apogée avec le
SEJOUR DE LA REINE VICTORIA en 1892.
Martine Peyron, arrière-petite fille d'Alexandre,
en témoigne dans un récent ouvrage(1), passionnant.
extrait de l'article de Gisèle Koson-Dray,
Var-Matin du 17 novembre 2013
1) renseignement : http://livrereinevictoria.free.fr/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire